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jean-jacques aulombard - Page 5

  • « Dieu est-il enfin soluble dans la science ? »

    Jean-Jacques Aulombard, conseiller général du canton de Chalabre, nous prie d'insérer : " Je suis heureux d’informer que François Chassaing, amoureux de Chalabre et que j’estime particulièrement, a publié un essai de grande qualité, qui interpelle le lecteur. François Chassaing, fut successivement avocat, journaliste, créateur de la première radio libre de France, et il se lancera ensuite dans la conception et la construction de voitures de sport : un modèle est aujourd’hui fabriqué en petite série par une PME réputée.

    C’est ce parcours riche et atypique qui a conduit naturellement François Chassaing à écrire un livre tout aussi atypique... L’après Teilhard de Chardin «Dieu est-il enfin soluble dans la science ?».

    Cet ancien élève des Jésuites, passionné par l’œuvre de Pierre Teilhard de Chardin, prolonge à sa manière et de façon fort impertinente, le débat qu’ouvraient voici trente ans Bergier et Pauwels dans «Le matin des magiciens».

    Ce livre dérangeant par moments, est utile au débat d’idées dans un monde qui manque souvent d’audace et d’imagination. De la mécanique quantique en passant par la synthèse de l’urée et le séquençage du génome, l’auteur propose des réponses troublantes et étonnamment modernes à des questions fondamentales sur l’Homme, la vie, la science, la religion, l’univers. Un peu à la manière de Roland Barthes, Chassaing juxtapose dans cet essai, des chapitres courts, et l’auteur n’hésite pas à interpeller directement ses lecteurs, comme pour les inciter à « se mouiller »dans la réflexion qu’il leur propose. Ce livre est en fait un quantum, un assemblage d’éléments au départ dissonants et indépendants, mais qui se retrouvent finalement liés d’une façon aussi improbable et terriblement cohérente".

    Ce livre est édité par les éditions Amalthée, 2 rue Crucy 44005 Nantes Cedex, et sera prochainement mis en vente chez José Sanchez, maison de la presse, rue du Capitaine Danjou.

  • Future Communauté de communes des Pyrénees-Audoises : Un nouvel espace, opaque ou transparent ?

    Sous ce titre, Jean-Jacques Aulombard conseiller général du canton de Chalabre communique :

    "L'article publié dans L'Indépendant, édition du 10 novembre, relatif à la future Communauté de communes des Pyrénées Audoises, appelle de ma part les observations suivantes : Cette collectivité entrera en vigueur le 1er janvier 2014 et le président de cette communauté sera désigné après les élections municipales de mars 2014, par les 89 délégués représentant les 64 communes de cette nouvelle communauté. L'objectif de ce nouvel espace est bien de favoriser le développement du territoire, et de tout mettre en oeuvre pour que tous les citoyens, et particulièrement ceux qui souffrent, puissent trouver un emploi afin de vivre correctement. Aussi, il me semble aujourd'hui que la priorité est de rassembler, d'unir toutes les volontés et d'agir en transparence.

    Or je suis surpris de lire que certains se positionnent déjà pour un poste, que d'autres soutiennent des candidatures. Je me permets de les rappeler à la raison. C'est en effet déconsidérer les 89 futurs délégués dont les 64 futurs maires, que de leur imposer cinq mois avant, le choix d'un nom. Messieurs, laissez-leur la liberté de choisir la présidente ou le président de cette nouvelle communauté de communes, le moment venu : ce ne sont plus des élèves qui obéissent à leur maître d'école.

    A ceux qui pressentent déjà des candidats potentiels, je voudrais leur dire que je pressens la fin d'un système... celui du petit calcul politique... Les citoyens attendent autre chose de leurs représentants politiques".

  • A propos de la nouvelle carte cantonale

    JJ Aulombard.jpgJean-Jacques Aulombard, conseiller général du canton de Chalabre communique :

    «Le projet de révision de la carte cantonale appelle de ma part plusieurs observations. La délimitation des circonscriptions cantonales est effectuée à partir du paramètre «population». Après la révision, ce ratio «population» entre le plus petit canton et le plus grand, est de 1,48, alors qu’auparavant il variait de 1 à 18,9. Il aurait été judicieux de prendre un deuxième paramètre, celui de la superficie des cantons. Le rapport entre le plus petit canton et le plus grand, augmente nettement. Il aurait fallu croiser ces deux rapports évoluant en sens contraire. En effet, ce principe de révision de la carte cantonale, veut garantir l’application du principe d’équilibre démographique, mais il méconnaît les principes d’efficacité et de proximité. Les deux conseillers généraux du canton de Quillan devront être à l’écoute de 86 communes et parcourir de grandes distances, alors que les deux conseillers généraux de Carcassonne I n’auront qu’un seul interlocuteur. Nous pouvons avoir les plus grands doutes sur la qualité et l’efficacité du travail des conseillers généraux de Quillan. Il faudrait introduire une péréquation qui prenne en compte la superficie des territoires. Les cantons de Quillan et Fabrezan devraient chacun être partagés en deux territoires distincts pour permettre un travail sérieux des élus.

    Une autre observation qui fait suite à la publication d’articles dans la presse : certains conseillers socialistes apparemment désignés, se préparent déjà à la bataille cantonale, et ceci en terrain conquis. Dois-je rappeler que ce sont les électeurs qui votent et non les partis politiques. Rien n’est jamais gagné : les mentalités évoluent, les électeurs de notre territoire souhaitent du nouveau et de la modernité. Des Femmes et des Hommes de qualité sont prêts à s’investir sur ce territoire, pour le bien de nos concitoyens. Alors prudence et patience Mesdames, Messieurs les politiques professionnels ».

  • Vanille et Chocolat subit les effets de la crise

    Crèche 31 Mai 2013.jpgLe successeur de Yves Ettori (au centre) devrait être connu très prochainement.

    La crèche associative Vanille et Chocolat, tenait son assemblée générale le mercredi 29 mai au théâtre municipal, sous la présidence de Yves Ettori, en présence de Martine Raynaud directrice de la structure associative. A leurs côtés avaient pris place élus, représentantes du personnel et les parents des petits pensionnaires.

    Yves Ettori saluait une assemblée exceptionnellement nombreuse, avant d'évoquer une situation financière critique. A l'image de beaucoup d’autre crèches associatives, Vanille et Chocolat traverse une crise qui met en péril sa continuité, et laisse craindre une cessation de paiement avant la fin de l’année. Les raisons de cette dégradation reposent sur la baisse d’activité, et si l’attractivité n’est pas en cause, puisque le nombre d’inscriptions est supérieur, le problème repose sur la baisse de la demande d’heures (taux actuel de fréquentation égal à 48 %, contre 61 % en 2011). Une chute liée à la situation sociale, le nombre de parents ne travaillant pas ayant fortement augmenté.

    vanille et chocolat,yves ettori,martine raynaud,jean-pierre salvat,jean-jacques aulombardUne des conséquences de cette baisse d’activité est la réduction de la prestation de service CAF (première recette de la crèche), ce à quoi il convient d'ajouter le sous-financement des collectivités publiques. Une situation aggravée par la mise en invalidité de deux salariées, licenciées pour raison d'inaptitude professionnelle, avec des indemnités légales de licenciement que la crèche ne peut payer (14.000 €). Ces facteurs cumulés, génèrent un manque de trésorerie prévisible de 45 000 € au dernier trimestre.

    vanille et chocolat,yves ettori,martine raynaud,jean-pierre salvat,jean-jacques aulombardTour à tour, Jean-Pierre Salvat, président de la communauté de communes du Chalabrais, et Jean-Jacques Aulombard, conseiller général, laissaient planer l'espoir d'un vote pour l'attribution de dotations exceptionnelles, afin d'équilibrer le budget. L'assistance ne pouvait que regretter la défection de nombreux maires, seules les communes de Chalabre, Gueytes-et-Labastide, Rivel et Sonnac-sur-l'Hers étant représentées.

    Le président Ettori proposait de lancer une enquête de satisfaction, engagée sur-le-champ par des parents unanimes à saluer la qualité des services, et déterminés afin que "Vanille et Chocolat" puisse conserver son statut associatif.

    vanille et chocolat,yves ettori,martine raynaud,jean-pierre salvat,jean-jacques aulombardLes résultats de sa dernière gestion validés, Yves Ettori invitait alors l'assemblée à procéder au renouvellement des cinq membres du conseil d'administration. Sur sept candidats en lice, et après un vote à bulletin secret, étaient élus Mmes Torres et Delpech, MM Gazza, Toustou et Minella.

    Au terme de cinq années de présidence, Yves Ettori souhaitait que la future équipe fasse évoluer la crèche et puisse l'inscrire dans la durée. Jean-Pierre Salvat et Martine Raynaud soulignaient la disponibilité et le temps donné par un président sortant très présent, et attentif aux demandes formulées.